Si un redressement Urssaf peut porter sur une assiette réduite, encore faut-il que l’entreprise parvienne à reconstituer de manière probante les sommes faisant défaut.
C’est la conclusion qu’il convient de tirer de l’arrêt du 1er février 2024 de la Cour de cassation (Cass. 2ème civ., 1er fév. 2024, n° 22-12.207), que Xavier PIGNAUD et Baptiste CHERY, avocats au sein du cabinet RIGAUD AVOCATS, détaillent pour vous dans les cahier Lamy du DRH de ce mois d’avril 2024 (n° 318).
L’intégralité de cette analyse pratique est à retrouver ici.
Nous tenons à remercier Sébastien DORLENCOURT pour cette publication.